• Mémorial de la Grande Guerre


    Mémorial de la Grande Guerre


    Mémorial de la Première Guerre Mondiale

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    Les cinq fils d'Armel BELLEC et Marie-Josèphe LE CARDIET :

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     Au fur et à mesure de mes recherches et de mes découvertes, j'ajouterais tous les hommes ayant participé à la première Guerre Mondiale, qu'ils soient ou non mes ascendants directs.
    Parmi ceux déjà présents plusieurs sont issus de proches directes : Camille LEGIVRE (Sosa n°20) ; Albin THENAULT (Sosa n°22) ; Jean-Marie CARRÉ (Sosa n°16) et Armel BELLEC (Sosa n°18). Les autres sont leurs frères, ou leurs cousins (parfois un peu éloignés). Plusieurs sont "Morts pour la France", d'autres sont revenus mais blessés, sont morts trop jeunes (Jean BELLEC fut intoxiqué par le gaz moutarde). Deux ont été décorés : Léon BOUTTET et Jean BELLEC reçurent la Croix de Guerre. D'autres encore, comme Yves et Mathurin BELLEC, ont été fait prisonniers puis sont revenus auprès de leur famille à la fin de la guerre pour y finirent leurs jours.


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  • Léon BOUTTET : Mort pour la France
    Léon BOUTTET : Mort pour la France

    Léon (Paul, Henri) BOUTTET est le frère de mon aïeule Cécile BOUTTET (sosa 23), troisième enfant et fils unique d'une fratrie de six (un autre garçon, Paul, est né deux ans avant Léon, mais décèdera à l'âge de 10 mois).
    Il est le fils de Jules (Léopold) BOUTTET, cultivateur domicilié dans la commune de Givraines (Loiret), et de son épouse Rachelle (Lucie, Eugénie) TAVERNIER. Lui-même cultivateur à Givraines, où il est né le matin du 7 juillet 1894 à 8h00. Une naissance déclaré par son père à la mairie, en présence de Stanislas MIDY, un instituteur de 34 ans et de Jean BOUTTET, cultivateur de 55 ans.

    Il n'a que vingt ans lorsque la guerre contre l'Allemagne commence.

    Léon BOUTTET : Mort pour la FranceSon registre matricule le décrit comme ayant les cheveux châtains et les yeux gris. Un visage au front large, un nez petit et une bouche assez petite. Il mesure 1, 58 m. Il sait lire, écrire et compter (degré d'instruction de niveau 3). Soldat de 2ème classe incorporé en premier lieu au 46ème régiment d'Infanterie dès le 12 septembre 1914 puis est passé au 289ème régiment d'Infanterie le 13 février 1917 (Exécution du message téléphoné du 8 février 1917).

    Il sera blessé deux fois au cours du conflit. Une première fois à Vauquois (Meuse) le 23 janvier 1916 par des éclats d'obus dans la cuisse gauche et le rein. Puis par balle au bras droit à Bouchavesnes (Somme) le 25 septembre 1916.

    Il a reçu une citation le 26 novembre 1916 et est décrit, toujours sur sa fiche matricule, comme un "soldat dévoué au front depuis le début de la campagne. S'est fait remarquer par sa conduite en toutes circonstances. A été blessé deux fois." Du fait de cette citation, il reçu la croix de guerre avec étoile d'argent.

    Ma grand-mère m'a parlé de Léon Bouttet dès que j'ai commencé mon arbre généalogique. Elle a connu sa grand-mère Cécile, la soeur de Léon. Le souvenir qui m'est parvenu n'est pas le plus joyeux, elle m'a souvent dit qu'il était revenu un jour de permission et avait alors dit : "C'est une vraie boucherie là-bas. Je ne reviendrais pas".

    Malheureusement il avait raison...
    Léon est "Mort pour la France", "tué à l'ennemi" à Moulin-sous-Touvent, dans l'Oise, le 20 juin 1918.
    Il avait 23 ans. Il est inhumé à Givraines, dans la même sépulture que sa mère et certains membre de sa fratrie. C'est sur la pierre tombale que se trouve son portrait que j'ai photographié.

    Léon BOUTTET : Mort pour la France

    BOUTTET (Léon-Paul-Henri), mle 13322, soldat :
    soldat d'une bravoure réputée. Est tombé glorieusement,
    le 20 juin1918, à son poste de combat, près de Moulin-sous-Touvent.
    Croix de guerre avec étoile d'argent.
    (Source : Gallica - Journal Officiel de la République française)


    Au moment de débuter mon blog se sont posées les questions : par où commencer ? Et quel sera mon premier article ?
    Et puis je me suis rappelée de Léon Bouttet, mort en 1918. En cette année du centenaire de la fin de la Grande Guerre, j'ai remarqué alors la date de son décès. Mon premier article était tout trouvé, alors je l'ai posté au centenaire de sa mort.


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